Le Canada, pays reconnu pour sa stabilité et sa prospérité, semble aujourd’hui être en proie à un déclin inattendu. Cette nation, autrefois dynamique et florissante, donne l’impression de somnoler, comme si elle était en pyjama. Un phénomène étrange qui suscite de nombreuses interrogations. Quels sont les facteurs qui ont conduit à cette situation ? Comment le pays du Grand Nord est-il passé d’un état de vigueur à une apparente léthargie ?
C’est ce que nous allons tenter de comprendre dans cet article, en explorant les différentes facettes de cette réalité inquiétante qui se dessine pour le Canada en 2025.
Le déclin économique du Canada : une réalité inquiétante
Le Canada, autrefois considéré comme un bastion de prospérité et de stabilité, est aujourd’hui confronté à une réalité économique alarmante. Son taux de croissance économique par habitant est l’un des plus faibles de l’Occident, une tendance qui s’est accentuée au fil des années. Malgré les discours optimistes sur l’inclusion et l’ouverture, le pays semble s’appauvrir et se replier sur lui-même.
Les causes principales de ce déclin sont multiples, allant de l’expansion de l’État à l’augmentation de la dette publique, en passant par une immigration massive. Le changement imminent de leadership politique, avec l’élection probable de Mark Carney, ne semble pas rassurer une population déjà anxieuse.
La gouvernance Trudeau : une décennie de déclin économique
Après dix ans sous la direction de Justin Trudeau, le Canada se retrouve dans une situation économique précaire. L’expansion de l’État, l’augmentation vertigineuse de la dette publique et une politique d’immigration massive ont contribué à affaiblir l’économie du pays. Le probable successeur de Trudeau, Mark Carney, ancien banquier, est attendu au tournant.
Son élection à la tête du Parti libéral du Canada pourrait accélérer cette tendance de déclin économique, suscitant des inquiétudes parmi une population déjà éprouvée par les difficultés économiques.
La gestion des risques et l’idéologie sécuritaire : une obsession canadienne
Depuis le début de la pandémie de Covid-19, le Canada a développé une obsession pour la gestion des risques. Qu’ils soient sanitaires, climatiques, numériques ou économiques, tous les dangers potentiels sont scrutés avec une attention accrue. Cette idéologie sécuritaire s’est traduite par une multiplication des règles et des normes, dans le but de rassurer une population de plus en plus anxieuse.
Cependant, cette approche a également eu pour effet d’infantiliser les citoyens et de transformer la classe politique en comité thérapeutique. La pandémie a ainsi été le tremplin d’un nouveau mode de gouvernance basé sur la peur et le contrôle social.
