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Fracture sociale en France : l’élite dans le déni face à la peur grandissante de 2025

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La fracture sociale en France est un sujet qui suscite de vives inquiétudes. Alors que l’année 2025 bat son plein, une peur grandissante s’installe au sein de la population. Pourtant, l’élite semble faire preuve d’un déni face à cette réalité. Cet article se propose d’explorer ce phénomène, en mettant en lumière les différentes facettes de cette problématique complexe et actuelle. Quels sont les signes de cette fracture ? Comment l’élite réagit-elle face à cette situation ?

Autant de questions auxquelles nous tenterons de répondre pour mieux comprendre les enjeux de cette fracture sociale en France.

La France face au “mensonge poli” : une réalité niée et des mots suspects

La France semble être entrée dans une ère de “mensonge poli”, où la réalité est délibérément ignorée et les mots sont devenus suspects. Un sentiment d’épuisement et de confusion se fait sentir, comme si le pays, en niant constamment la réalité, s’était exilé de lui-même. Les classes populaires, souvent reléguées à l’invisible, expriment leur frustration par un vote qualifié d'”extrême”.

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Ce vote n’est pas motivé par la haine ou la nostalgie, mais plutôt par un désir de reconnaissance. Cependant, les élites semblent ignorer ce cri du cœur, préférant diagnostiquer ces voix comme un malaise social plutôt que de les écouter véritablement.

Le cri silencieux

 

Le cri silencieux de la “France périphérique”

Depuis des années, les classes populaires, ou la “France périphérique”, tentent d’exprimer leur mécontentement et leur sentiment d’invisibilité. Leur voix, souvent dénigrée comme vulgaire ou dangereuse, s’est tournée vers un vote qualifié d'”extrême”. Ce vote n’est pas une manifestation de haine ou de nostalgie, mais plutôt un appel à la reconnaissance.

Cependant, les élites, vivant dans une bulle déconnectée de la réalité, ont tendance à discréditer ces voix, les traitant comme un symptôme de malaise social plutôt que de les écouter véritablement. Cette surdité volontaire a conduit à une frustration croissante parmi ces classes populaires, qui se sentent ignorées et marginalisées.

La gauche et la morale post-coloniale : une vision biaisée

La gauche, enivrée par sa morale post-coloniale, a adopté une vision manichéenne du monde, presque théologique : les opprimés ont toujours raison, les dominants ont toujours tort. Cette croyance aveugle a engendré une nouvelle forme de lâcheté qui refuse de reconnaître le mal lorsqu’il se présente.

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L’islamisme, bien que palpable au quotidien, a été relégué à une “invention médiatique”. Le voile n’est plus vu comme un symptôme mais comme une “liberté”. La République est réduite à un mot vide de sens, répété sans conviction. Cette approche a conduit à une complicité silencieuse avec le communautarisme, trahissant ainsi les principes de laïcité.

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Écrit par Julien Rousset