Francesca Albanese, éminente spécialiste des droits de l’homme, met en lumière les contradictions du Conseil des Droits de l’Homme de l’ONU. Ses révélations, qui ont secoué le monde en cette année 2025, soulèvent des questions cruciales sur la crédibilité et l’intégrité de cet organe international.
Cet article se propose d’explorer ces allégations chocs, en détaillant les points de discorde soulevés par Albanese. Préparez-vous à plonger dans un débat complexe et passionnant qui remet en question les fondements mêmes de notre système de protection des droits humains.
Le mandat contesté de Francesca Albanese, Rapporteuse spéciale aux Droits de l’Homme dans les Territoires occupés par Israël
Francesca Albanese, Rapporteuse spéciale aux Droits de l’Homme dans les Territoires occupés par Israël depuis 1967, est au cœur d’une controverse alors que son mandat triennal pourrait être renouvelé. Bien que plusieurs des 47 pays du Conseil des Droits de l’Homme soient satisfaits de son travail, elle fait face à des critiques de la part de la France, de l’Allemagne et des Pays-Bas.
L’organisation UN Watch basée à Genève a également accusé Mme Albanese d’antisémitisme, citant 53 instances où elle aurait tenu des propos jugés antisémites selon les critères de l’IHRA.
Les accusations d’antisémitisme contre Mme Albanese
Francesca Albanese est accusée de soutenir le Hamas, de comparer les Israéliens aux nazis et d’utiliser le terme “génocide” pour décrire les actions d’Israël. Ces allégations, qui ont été soulevées par UN Watch, sont basées sur des déclarations qu’elle aurait faites dans le passé. De plus, l’influence possible de son mari, un ancien conseiller économique du gouvernement palestinien, sur ses opinions est également mise en question.
Ces accusations pourraient remettre en cause son impartialité, une qualité essentielle pour son poste de rapporteur. Si elles sont avérées, elles pourraient nuire à sa crédibilité et à celle du Conseil des Droits de l’Homme.
Le Conseil des Droits de l’Homme : un biais anti-israélien persistant ?
Malgré le remplacement de la Commission des Droits de l’Homme par le Conseil, les critiques d’un biais anti-israélien persistent. Le poste de Rapporteur sur les violations des droits de l’Homme dans les territoires palestiniens semble être réservé aux antisionistes, alimentant ces accusations. De plus, la domination du Conseil par les 57 pays membres de l’Organisation de la Coopération Islamique et leurs alliés géopolitiques ou occasionnels est souvent pointée du doigt.
Ces éléments soulèvent des questions sur l’équité du Conseil et sa capacité à traiter tous les pays de manière égale, indépendamment de leur situation géopolitique.





