Face à la montée de l’islamisme, Israël se positionne en première ligne. Cette situation interpelle et soulève des questions quant à la réaction de la France face à ce phénomène. Alors que le pays du Moyen-Orient semble tirer la sonnette d’alarme, la France reste-t-elle indifférente ? Cet article propose une analyse comparative des approches israélienne et française face à l’islamisme.
Il s’interroge sur les leçons que la France pourrait tirer de l’expérience israélienne pour anticiper et gérer cette problématique complexe et sensible.
La riposte d’Israël face à la menace iranienne
Face à une menace existentielle, Israël a pris des mesures audacieuses en ciblant le régime iranien et ses installations nucléaires. Cette action fait suite à la neutralisation réussie de groupes extrémistes tels que le Hamas, le Hezbollah, Daech et l’État islamique par les forces armées israéliennes (Tsahal) et leur service de renseignement (Mossad).
Les ayatollahs iraniens, qui rêvent depuis 1979 d’éliminer Israël, semblent être les prochains sur la liste. La bombe nucléaire, dont l’Agence internationale de l’énergie atomique a confirmé qu’elle était à portée de main, est l’instrument d’épuration de cette théocratie irrationnelle.
La France face à l’islamisme radical : une menace sous-estimée
En comparaison, la France semble minimiser ses propres vulnérabilités face à l’islamisme radical. Certains médias et experts ont été accusés de complaisance envers cette menace, notamment en réduisant la stratégie du Premier ministre israélien Benyamin Netanyahou à une simple obsession.
Pourtant, protéger son pays contre la dictature islamique est loin d’être un excès de prudence. La chute des mollahs iraniens serait une victoire non seulement pour les Iraniens opprimés, mais aussi pour le monde libre. Il est temps que la France prenne conscience de la gravité de la situation et cesse de sous-estimer la menace islamiste.
Le débat politique français face à la situation au Moyen-Orient
La France, engluée dans le politiquement correct, semble désarmée face à l’islamisme radical. Le ministre des Affaires étrangères prône la retenue et plaide pour la reconnaissance d’un État palestinien, une position jugée capitulard.
Jean-Luc Mélenchon, quant à lui, a suscité la controverse en appelant à l’arrestation de Netanyahou et en dénonçant son “agression militaire” contre l’Iran. Accusé d’antisémitisme par le député PS Jérôme Guedj, Mélenchon est critiqué pour sa position. Israël, en revanche, est salué pour avoir mis en lumière la lâcheté et la soumission de certains face au totalitarisme de la charia.





