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L’assaut de LFI sur La Bonne Mère : une bataille politique inattendue à Marseille

LFI sur La Bonne Mère

Marseille, ville emblématique du sud de la France, est le théâtre d’une bataille politique surprenante. L’assaut de La France Insoumise (LFI) sur “La Bonne Mère”, surnom affectueux donné par les Marseillais à la basilique Notre-Dame de la Garde, suscite de vives réactions. Cette offensive inattendue de LFI, parti de gauche radicale, soulève des questions cruciales sur l’avenir politique de la cité phocéenne. Dans cet article, nous allons décrypter les enjeux et les conséquences de cette confrontation politique qui secoue Marseille.

Restez avec nous pour comprendre les dessous de cette lutte pour le contrôle de “La Bonne Mère”.

Le chroniqueur défend la restauration de Notre-Dame-de-la-Garde malgré les objections des élus LFI

Notre chroniqueur, résident marseillais, se fait le fervent défenseur de la restauration de la statue de Notre-Dame-de-la-Garde, malgré l’opposition des élus locaux de La France Insoumise (LFI). Il souligne l’importance historique et touristique de ce site emblématique pour la ville de Marseille. Selon lui, la restauration de cette statue, qui nécessite une enveloppe de 2,8 millions d’euros, est essentielle non seulement pour préserver le patrimoine culturel de la ville, mais aussi pour maintenir son attrait touristique.

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Il rappelle que chaque jour, des milliers de visiteurs sont amenés sur ce site par un petit train touristique, soulignant ainsi son importance économique pour la cité phocéenne.

Notre-Dame-de-la-Garde

Les coûts de la restauration et les objections des élus LFI

Le projet de restauration, estimé à 2,8 millions d’euros, est financé par plusieurs entités : la ville de Marseille contribue à hauteur de 300 000 euros, le Conseil départemental apporte 400 000 euros et la Région PACA investit 500 000 euros.

Cependant, cette dépense suscite l’ire des élus LFI qui arguent que ces fonds publics seraient mieux utilisés dans des domaines tels que l’éducation, le logement ou les transports. Ils mettent en avant les besoins de la population locale, suggérant que la restauration de la statue n’est pas une priorité face aux défis sociaux et économiques actuels.

Une opposition de LFI vue comme un affront à la mémoire populaire

Le chroniqueur interprète l’opposition de LFI à la restauration de la statue comme une tentative de séduire ceux qui favorisent l’érection de mosquées plutôt que la préservation du patrimoine chrétien. Il voit cette position comme un affront à la mémoire populaire, soulignant que Notre-Dame-de-la-Garde est un symbole historique et culturel pour Marseille.

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Selon lui, cette opposition révèle une vision de l’histoire qui débute et se termine avec l’avènement de l’Islam, ignorant ainsi les autres facettes de l’histoire locale et nationale.

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Écrit par Julien Rousset