Située dans les Yvelines, Trappes est une ville qui a su traverser les âges tout en conservant son charme et son histoire. De ses origines lointaines à sa transformation moderne, elle offre un panorama fascinant de l’évolution urbaine et sociale. Cet article vous invite à un voyage dans le temps pour découvrir l’histoire captivante de Trappes, une ville qui a su se réinventer sans jamais renier son passé.
Préparez-vous à plonger dans un récit riche et passionnant, où chaque époque a laissé sa marque indélébile sur le visage de cette commune des Yvelines.
Trappes : Un bastion de la cause palestinienne en Île-de-France
Trappes, une ville située dans les Yvelines, est dirigée par son maire actuel, Ali Rabeh. Cette commune d’Île-de-France s’est récemment distinguée comme un symbole fort de la cause palestinienne. En effet, une banderole géante aux couleurs de la Palestine a été déployée sur la façade de la mairie, visible depuis l’autoroute A10.
De plus, une “Soirée pour la Paix” a été organisée, avec la présence notable de Mme Hala Abou Kassia, représentante de la mission Palestine en France. Ces actions ont renforcé le positionnement de Trappes comme un centre de soutien à la cause palestinienne.
Une hostilité croissante envers les juifs à Trappes
En 2002, Le Monde avait révélé une animosité marquée envers la communauté juive parmi les jeunes de banlieue d’origine immigrée, particulièrement à Trappes. Cette enquête mettait en lumière un antisémitisme quotidien dans les discussions et interactions en ligne. Vingt-trois ans plus tard, cette hostilité semble s’être intensifiée, alimentée par le conflit du Proche-Orient.
La ville est souvent comparée à Molenbeek en Belgique, connue pour son fort repli communautaire. L’antisémitisme d’hier semble avoir pris de l’ampleur, exacerbé par les tensions internationales et les manipulations politiques locales.
Didier Lemaire : un lanceur d’alerte ignoré
Didier Lemaire, professeur de philosophie à Trappes, a été témoin direct des ravages du communautarisme et de l’entrisme islamiste dans la société. Courageux, il a tenté de tirer la sonnette d’alarme sur ces problèmes, mais ses avertissements sont restés sans écho. Les autorités ont choisi de fermer les yeux sur ces enjeux cruciaux.
Par ailleurs, le soutien ostentatoire d’Ali Rabeh à la cause palestinienne soulève des questions. Est-ce une véritable volonté de promouvoir la paix ou s’agit-il plutôt d’une stratégie politique visant à gagner des voix lors des prochaines élections municipales ? La réponse reste incertaine.
