L’audace et l’innovation sont deux qualités qui définissent parfaitement ces trois femmes. Elles ont osé se lancer un défi révolutionnaire pour cette année 2025, avec un projet qui promet de bouleverser les codes établis. Leur ambition ? Rien de moins que de transformer notre quotidien grâce à une idée aussi surprenante qu’inspirante. Préparez-vous à découvrir un concept inédit, fruit d’une vision audacieuse et d’un esprit novateur.
Restez connectés, car nous allons vous dévoiler dans cet article le projet étonnant de ces trois femmes audacieuses qui ont décidé de défier le statu quo en 2025.
Les trois mousquetaires de la liberté des femmes
Mona Jafarian, Fadila Maaroufi et Lara Fatimi, trois femmes aux parcours personnels et professionnels remarquables, se sont réunies à l’Assemblée nationale pour un appel solennel. Ces femmes exceptionnelles ont pris la parole lors d’une conférence sur la liberté des femmes menacée par l’islamisation de la société. Mona Jafarian, activiste franco-iranienne, a commencé son combat pour les droits des femmes en Iran après le décès tragique d’une jeune étudiante arrêtée pour “port de vêtements inappropriés”.
Fadila Maaroufi, née dans une famille marocaine à Bruxelles, lutte contre le voile suite à une enfance marquée par la violence et l’inégalité. Lara Fatimi, avocate au barreau de Paris, défend les droits de l’Homme, notamment ceux des Français et des policiers.
Le combat de chaque mousquetaire
Mona Jafarian, née après l’instauration de la charia en Iran, a commencé son activisme suite à la mort de Mahsa Amini, une étudiante iranienne arrêtée pour “port de vêtements inappropriés”. Son combat contre la République islamique d’Iran est motivé par les violences quotidiennes subies par les femmes iraniennes.
Fadila Maaroufi, ayant grandi dans un environnement violent à Bruxelles, se consacre aujourd’hui à la lutte contre le voile, symbole de l’inégalité homme-femme qu’elle a personnellement expérimentée. Lara Fatimi, avocate au barreau de Paris, défend les droits de l’Homme et milite pour l’armement des policiers municipaux, considérés comme des cibles notoires dans une guerre civilisationnelle.
Les revendications des trois mousquetaires
À l’issue de leur intervention, les trois femmes ont présenté cinq demandes précises aux législateurs. Elles ont appelé à la dissolution de l’Association des Musulmans de France et à l’arrêt des subventions aux associations fréristes. Elles ont également exigé l’application stricte de la loi interdisant les prières de rue et le prosélytisme religieux perturbant l’ordre public, ainsi que la fermeture des lieux de culte prônant des principes contraires aux droits humains.
En outre, elles ont réclamé l’interdiction du voile pour les mineures, dans l’enseignement supérieur et dans le sport. Enfin, elles ont demandé la fermeture des comptes sur les réseaux sociaux des influenceurs islamiques et des imams dont les discours sont contraires aux droits humains. Leur appel a été salué par une standing ovation prolongée, témoignant du soutien du public à leurs revendications.





