En 2025, la lutte pour l’environnement est plus que jamais d’actualité. Les Zones à Faibles Émissions (ZFE) sont au cœur de cette bataille acharnée pour réduire la pollution atmosphérique et protéger notre planète. Ces zones, qui limitent ou interdisent l’accès aux véhicules les plus polluants, se multiplient dans nos villes et métropoles.
Mais quel est leur impact réel sur la qualité de l’air ? Comment sont-elles mises en place et gérées ? Et surtout, sont-elles vraiment efficaces ? C’est ce que nous allons explorer dans cet article. Le combat pour un environnement sain continue, et les ZFE sont en première ligne.
Pierre Meurin, député, s’oppose fermement aux Zones à Faibles Émissions
Le député Pierre Meurin se positionne contre les Zones à Faibles Émissions (ZFE), qu’il qualifie d'”écologie punitive” et d'”insulte à l’intelligence”. Il cherche à abolir ces zones par le biais d’un amendement inséré dans le projet de loi visant à simplifier la vie économique. Selon lui, les ZFE sont une mesure excessive qui entrave la liberté de circulation.
Il estime que cette initiative ne tient pas compte des réalités du terrain et pourrait potentiellement provoquer un mécontentement social similaire à celui engendré par le mouvement des gilets jaunes.
Les ZFE, un catalyseur de colère sociale selon Meurin
Pierre Meurin met en garde contre les conséquences sociales des ZFE, qu’il compare à la limitation de vitesse à 80 km/h instaurée sous le gouvernement d’Édouard Philippe. Il craint que ces zones ne deviennent un nouveau déclencheur de mécontentement populaire.
Le député accuse également les ZFE de créer une “ségrégation sociale” et un “séparatisme”, en rendant les centres-villes inaccessibles aux classes populaires. Selon lui, cette mesure pourrait aggraver la fracture entre les élites et le peuple, en limitant la liberté de circulation et en accentuant les inégalités d’accès aux services publics.
Les solutions de Meurin pour lutter contre la pollution
Face à la pollution, Pierre Meurin propose des alternatives aux ZFE. Il préconise notamment la généralisation du décalaminage à l’hydrogène, une technique de nettoyage des moteurs qui réduit les émissions et la consommation. Il plaide également pour le développement des transports en commun et l’installation de parkings relais à l’entrée des villes.
En outre, il s’oppose à l’interdiction des moteurs thermiques en 2035, arguant qu’une voiture électrique n’est pas nécessairement plus écologique qu’une voiture à moteur thermique, compte tenu de son impact carbone lié à sa fabrication et à son transport.





